Là bas si j’y suis

Une grande soirée très représentative de l’état de la France, musique, témoignages, … Pour les milliers d’abonnés qui n’ont pas pu venir mais qui rendent tout ça possible, pour les AMG de l’étranger qui ne pouvaient pas se déplacer, pour tous ceux qui étaient trop occupés à danser, à chanter et à manger les petits plats de la Confédé, voici les vidéos de cette grande soirée qui a réuni 900 personnes, un mardi soir de grève, le 21 janvier dernier  :

Dans cette première partie, Olivier Besancenot, Mouss & Hakim, une intervention imprévue du grolandais écologiste, Benoît Delépine, Taha Bouhafs, les grévistes de la ligne 8 du métro, mais surtout Séverine et son compagnon Manu, « gilet jaune » avec un bandeau noir sur son œil arraché par un tir dans une manif, que nous avions rencontrés dans un récent reportage de Là-bas si j’y suis à Valenciennes.

Là-bas si j’y suis fête ses 30 ans (2/3)

Dans cette deuxième partie, l’historienne Mathilde Larrère et les révolutions en chantant, François Ruffin et ses années Là-bas, Gérard Filoche et le droit au bonheur à la retraite, avec les incontournables Mouss & Hakim qui mettent l’ambiance : « Y’a pas d’arrangements, y’a pas d’arrangements » !

Là-bas si j’y suis fête ses 30 ans (3/3)

Et voici la troisième et dernière partie de la grande fête des 30 ans de Là-bas si j’y suis, qui a rassemblé près de 900 personnes, un mardi soir de grève, le 21 janvier dernier. Au menu de cette dernière partie, Corinne Masiero et les soeurs Chamots, Antoine Chao, et Jean-Luc Mélenchon qui lit du Jaurès !

“Là bas si j’y suis” ne fait pas que la fête … exemple ci-dessous :

Le tout récent entretien de Juan Branco, avocat pour la défense / libération de Julian Assange :

Le 24 février s’ouvre à Londres le procès en extradition de Julian Assange. Privé de liberté depuis 2010, le journaliste fondateur de WikiLeaks est « réclamé » par les États-Unis pour dix-huit chefs d’inculpation. Assange risque une peine de 175 ans de prison. En avril 2019, après 2 487 jours d’enfermement et de surveillance 24 heures sur 24 par la CIA, Julian Assange est exfiltré de l’ambassade de l’Équateur où il avait cru pouvoir se réfugier. Des hommes en noir le mènent à la prison antiterroriste de Belmarsh. Depuis, selon l’ONU, il est soumis à une torture incessante.
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