On ne présente plus Ghis et Personnocratia ex Ghislaine Lanctôt … interviewée ici par Arnaud Mahler, je vous laisse en sa compagnie pour découvrir cette façon de voir le monde :
Retrouvez ici tous les ouvrages de Grigori Petrovitch Grabovoï chez son éditeur pour la France.
1 thought on “L’Évolution vers l’espèce nouvelle”
Est-il besoin de ressusciter ce qui EST
déjà depuis toujours ?
Dernier Tunnel avant l’autre rive ?
En empruntant cet omnibus des destins successifs, bien connu de tous.
Mais si… rappelons-nous !
L’autre rive; peut-être le Terminus ? Ou bien seulement une simple étape? Et si ce n’était pas la fin du Voyage, de l’Épopée devrait-on dire, ce fameux but à atteindre, tant espéré par beaucoup, puisque promis par le dogme, copié-collé de moult religions, sectes et autres regroupements à vocation spirituelle. La récompense du mérite acquis par ceux qui auront été bien sages, durant leur séjour de colocataires chez Pachamama, qui a la grâce de nous héberger.
Il se peut donc que ce ne soit vraisemblablement, qu’une halte de plus, comme tant d’autres qui l’ont précédée, et dont on a oublié jusqu’à l’existence même. La fameuse « gorgée de l’oubli » du Léthé oblige ! Il est vrai que ce périple aventureux est si long qu’il en devient totalement insondable, même pour les plus férus aventuriers de l‘occulte. Car, cela les dépasse, et de loin. Et pour faire une petite digression – CELA – dans le sens Taoïste, d’un Absolu indéterminé, les dépasse aussi pour tout dire, comme nous tous.
Donc, l’on peut y séjourner quelque temps dans cette dernière station provisoire, pas forcément balnéaire du reste et pas toujours de tout repos ; de quelques années, parfois moins, à quelques siècles – Car le Bailleur semble, parait-il, assez accommodant, ou bien est-il simplement intéressé ?!….
Et cette fameuse « lumière au bout du tunnel », expression bien connue que l’on entend si souvent dans la vie de tous les jours, un peu comme une sorte de reliquat déformé d’une mémoire enfouie; ne devrait-elle ne concerner que ce Tunnel-là, ou bien y a-t-il d’autres « Passages » et d’autres Lumières ? N’oublions pas cependant que ces « Passages » pourraient aussi signifier « pas sage » dans ce langage fleuri et « Alchymique » des oiseaux – cf. Patrick Burensteinas – et donc réclamer une certaine prudence et surtout un certain détachement, s’il advenait qu’ils se fassent connaître lors de diverses occurrences.
Bref, ces descriptions rapportées par tant de « voyageurs » en transit, sont quand même assez concordantes pour que l’on puisse leur accorder une certaine crédibilité, sans pour autant que ce ne soit la voie à rechercher et/ou, encore moins, à emprunter durablement !
Alors peut-on comparer ces autres lumières, ces autres périples, sans qu’il ne soit nécessaire pour autant de faire une NDE ou un EMI , (on a quand même un peu de temps devant soi ?!), mais par une autre voie d’exploration… presque involontaire ?
C’est un peu ce que certains ont expérimenté, comme à l’insu de leur plein gré.
Une méditation, un mahamudra, ou toute autre attitude confinant à la paix intérieure…
Et puis ce souffle léger, presque qu’impalpable qui s’installe, et dont on ressent qu’il peut être vecteur d’informations, ou plutôt de ressentis très subtils, lorsqu’il permet, à tel ou tel d’y avoir accès. Sans doute, de par la nature de son attitude intérieure, de par ce silence si particulier qu’il aura pu rencontrer, et reconnaître précisément – au détour d’un souffle – « Ce Souffle venu d’Ailleurs, qui fait vaciller le Temps ». Alors ces informations de conscience, ces ressentis, pourront être source de prise de conscience précisément, même si cela laisse souvent perplexe.
Cela se complexifie lorsque d’autres personnes, proches ou éloignées, auront rencontré ces mêmes perceptions intérieures – et que l’un découvrira par ex., au hasard de ses lectures chez un bouquiniste, un vieux livre oublié – (Aperçus sur le Kriya Yoga de Rishi Atri) – où il découvrira dans les dernières pages, une description identique à sa propre expérience intérieure 4 ou 5 années plus tôt, décrite en Inde cette fois, il y a fort longtemps, et repris dans ce livre édité il y a 50 ans env.
Et il pourra y lire, que cette perception de « Lumière au bout du tunnel », est bien précisée dans des détails très similaires, voir identiques, (l’étoile en l’occurrence) sans qu’il ne soit nécessaire apparemment, de faire une NDE ou EMI, de tomber en extase, où je ne sais trop quoi d’autre d’ésotérico-mystique. Simplement paisible, les pensées au repos du silence, sans aspiration, sans désir, sans projection d’aucune sorte.
Autre coïncidence, lorsqu’une autre personne découvrira sur le net, dans des leçons de kriya yoga datant de 2004: https://www.aypsite.ch/lecon_092
encore le même type de témoignage sur cette petite étoile. Au fond, c’est peut-être ça, suivre sa « bonne étoile », après tout !
Il aurait été peut-être intéressant, par simple curiosité, de savoir si c’est bien la zone droite du cortex qui perçoit ce phénomène. Apparemment léger, selon les témoins , dans le sens qu’aucune pression émotionnelle, aucune exaltation, aucune extase ou autre phénomène bien connu dans les pratiques ésotérico-spirituellles ne se manifeste ici. Rien de marquant, si ce n’est la perception de cette lumière en forme d’une très petite étoile pentagonale, remarquable de beauté et de précision, et très lumineuse, placée au centre d’une sorte de mandala d’un violet-améthyste intense, rayonnant et lumineux également, et le tout cerclé d’une couronne de lumière jaune doré, qui évoluera par la suite…. Tout ceci restant visible les yeux fermés, mais aussi les yeux ouverts – même si dans ce dernier cas, les couleurs deviennent beaucoup plus pastelle. Les personnes rapportent aussi avoir eu cette perception visuelle avec l’œil droit.
D’autres ont perçu un double tétraèdre, étoile hexagonale bien connue, figure centrale des représentations du chakra du cœur, mais toujours dans les mêmes apparences de lumière, de couleurs et de contexte que l’étoile quintuple.
Et alors, dira-t-on ? La belle affaire ! Et l’on aura parfaitement raison – car ces manifestations aussi profondes soient-elles, et porteuses d’une sorte d’information subtile, n’en sont pas pour autant la preuve de quoique ce soit. Si ce n’est qu’il y a vraisemblablement des fréquences autres que celles que nous connaissons habituellement. Mais qu’il serait aventureux que de vouloir s’y arrêter d’une part, ou d’en faire une fixation quelconque. Ces choses existent, regardons les simplement comme on peut admirer un beau paysage, ou la splendeur d’une aurore, sans attachement ni encore moins d’appropriation de la part du petit ego, toujours à l’affût, de quelques médailles ou gratifications à grappiller. Cela fait partie du décor naturel dans lequel nous évoluons tous, corps et âme, et que l’on peut rencontrer, Chemin faisant ….
Mais il est peut-être intéressant de savoir que cela existe, pour précisément le dépasser, lorsque cette occurrence pourra se présenter… à l’insu de notre plein gré, bien sûr !.
On peut remarquer cependant une certaine différence entre ces types d’expériences telles qu’elles ont été rapportées. Dans les premières, par le biais d’une EMI par ex. Les informations relatent presque toujours des rencontres plus moins plasmatiques, lumineuses ou ternes, des situations émotionnelles plus ou moins profondes et intenses, des élans mystiques ou extatiques, qui démontrent que nous sommes toujours bien dans une relation d’altérité avec les évènements observés. Les témoins parfois, « sortent » d’eux-mêmes, comme ravi , en extase, en quelque sorte. Même les expériences de haute valeur « spirituelle » sont toujours décrites dans ce même rapport : « Observateur/observé » .
Un peu comme cela est décrit par l’Advaïta-Vedanta par ex.– Que ce soit un être de lumière, un guide auto-proclamé ou quelqu’autre figure dite ascensionnée, et nous – ou alors sur un octave au-dessus, (3ème loka?), un archange, un ange, pas forcément les malakims, dont la description détaillée de la Bible laisse dubitatif – et notre âme-conscience singulière.
Le ressenti et le perçu sont donc imprégnés de dualité, d’altérité, d’émotions et se situe plutôt dans un domaine propre à l’entropie.
Dans un autre registre non dual cette fois, la Vacuité, le Silence, et la Plénitude sans objet de contemplation, que certains ont pu approcher, dans et surtout après l’expérience de l’étoile, ne sont que le début d’une expérience à venir, qui se situerait plutôt dans ce que l’on pourrait appeler, l’intrication. L’étoile ne serait alors qu’une porte – la 8 ème Porte – ? un sas de sortie, que l’on emprunte, puis dépasse sans s’y arrêter outre mesure.
Alors la Suite de l’Epopée est vraisemblablement au-delà des mots, et rien de mieux que la profondeur d’un Silence de méditation, sans objet mental et/ou émotionnel, comme support, pour l’approcher, ou plutôt, se laisser approcher par Elle, car ici le désir et la volonté auront été placées au placard des illusions.
Au-delà des mots certes, mais quelque chose nous dit peut-être que ce que nous appelons l’âme-hors, est bien CELA, en fait ! Donc point de « ressuscitation » !!
– CELA EST –
Est-il besoin de ressusciter ce qui EST
déjà depuis toujours ?
Dernier Tunnel avant l’autre rive ?
En empruntant cet omnibus des destins successifs, bien connu de tous.
Mais si… rappelons-nous !
L’autre rive; peut-être le Terminus ? Ou bien seulement une simple étape? Et si ce n’était pas la fin du Voyage, de l’Épopée devrait-on dire, ce fameux but à atteindre, tant espéré par beaucoup, puisque promis par le dogme, copié-collé de moult religions, sectes et autres regroupements à vocation spirituelle. La récompense du mérite acquis par ceux qui auront été bien sages, durant leur séjour de colocataires chez Pachamama, qui a la grâce de nous héberger.
Il se peut donc que ce ne soit vraisemblablement, qu’une halte de plus, comme tant d’autres qui l’ont précédée, et dont on a oublié jusqu’à l’existence même. La fameuse « gorgée de l’oubli » du Léthé oblige ! Il est vrai que ce périple aventureux est si long qu’il en devient totalement insondable, même pour les plus férus aventuriers de l‘occulte. Car, cela les dépasse, et de loin. Et pour faire une petite digression – CELA – dans le sens Taoïste, d’un Absolu indéterminé, les dépasse aussi pour tout dire, comme nous tous.
Donc, l’on peut y séjourner quelque temps dans cette dernière station provisoire, pas forcément balnéaire du reste et pas toujours de tout repos ; de quelques années, parfois moins, à quelques siècles – Car le Bailleur semble, parait-il, assez accommodant, ou bien est-il simplement intéressé ?!….
Et cette fameuse « lumière au bout du tunnel », expression bien connue que l’on entend si souvent dans la vie de tous les jours, un peu comme une sorte de reliquat déformé d’une mémoire enfouie; ne devrait-elle ne concerner que ce Tunnel-là, ou bien y a-t-il d’autres « Passages » et d’autres Lumières ? N’oublions pas cependant que ces « Passages » pourraient aussi signifier « pas sage » dans ce langage fleuri et « Alchymique » des oiseaux – cf. Patrick Burensteinas – et donc réclamer une certaine prudence et surtout un certain détachement, s’il advenait qu’ils se fassent connaître lors de diverses occurrences.
Bref, ces descriptions rapportées par tant de « voyageurs » en transit, sont quand même assez concordantes pour que l’on puisse leur accorder une certaine crédibilité, sans pour autant que ce ne soit la voie à rechercher et/ou, encore moins, à emprunter durablement !
Alors peut-on comparer ces autres lumières, ces autres périples, sans qu’il ne soit nécessaire pour autant de faire une NDE ou un EMI , (on a quand même un peu de temps devant soi ?!), mais par une autre voie d’exploration… presque involontaire ?
C’est un peu ce que certains ont expérimenté, comme à l’insu de leur plein gré.
Une méditation, un mahamudra, ou toute autre attitude confinant à la paix intérieure…
Et puis ce souffle léger, presque qu’impalpable qui s’installe, et dont on ressent qu’il peut être vecteur d’informations, ou plutôt de ressentis très subtils, lorsqu’il permet, à tel ou tel d’y avoir accès. Sans doute, de par la nature de son attitude intérieure, de par ce silence si particulier qu’il aura pu rencontrer, et reconnaître précisément – au détour d’un souffle – « Ce Souffle venu d’Ailleurs, qui fait vaciller le Temps ». Alors ces informations de conscience, ces ressentis, pourront être source de prise de conscience précisément, même si cela laisse souvent perplexe.
Cela se complexifie lorsque d’autres personnes, proches ou éloignées, auront rencontré ces mêmes perceptions intérieures – et que l’un découvrira par ex., au hasard de ses lectures chez un bouquiniste, un vieux livre oublié – (Aperçus sur le Kriya Yoga de Rishi Atri) – où il découvrira dans les dernières pages, une description identique à sa propre expérience intérieure 4 ou 5 années plus tôt, décrite en Inde cette fois, il y a fort longtemps, et repris dans ce livre édité il y a 50 ans env.
Et il pourra y lire, que cette perception de « Lumière au bout du tunnel », est bien précisée dans des détails très similaires, voir identiques, (l’étoile en l’occurrence) sans qu’il ne soit nécessaire apparemment, de faire une NDE ou EMI, de tomber en extase, où je ne sais trop quoi d’autre d’ésotérico-mystique. Simplement paisible, les pensées au repos du silence, sans aspiration, sans désir, sans projection d’aucune sorte.
Autre coïncidence, lorsqu’une autre personne découvrira sur le net, dans des leçons de kriya yoga datant de 2004: https://www.aypsite.ch/lecon_092
encore le même type de témoignage sur cette petite étoile. Au fond, c’est peut-être ça, suivre sa « bonne étoile », après tout !
Il aurait été peut-être intéressant, par simple curiosité, de savoir si c’est bien la zone droite du cortex qui perçoit ce phénomène. Apparemment léger, selon les témoins , dans le sens qu’aucune pression émotionnelle, aucune exaltation, aucune extase ou autre phénomène bien connu dans les pratiques ésotérico-spirituellles ne se manifeste ici. Rien de marquant, si ce n’est la perception de cette lumière en forme d’une très petite étoile pentagonale, remarquable de beauté et de précision, et très lumineuse, placée au centre d’une sorte de mandala d’un violet-améthyste intense, rayonnant et lumineux également, et le tout cerclé d’une couronne de lumière jaune doré, qui évoluera par la suite…. Tout ceci restant visible les yeux fermés, mais aussi les yeux ouverts – même si dans ce dernier cas, les couleurs deviennent beaucoup plus pastelle. Les personnes rapportent aussi avoir eu cette perception visuelle avec l’œil droit.
D’autres ont perçu un double tétraèdre, étoile hexagonale bien connue, figure centrale des représentations du chakra du cœur, mais toujours dans les mêmes apparences de lumière, de couleurs et de contexte que l’étoile quintuple.
Et alors, dira-t-on ? La belle affaire ! Et l’on aura parfaitement raison – car ces manifestations aussi profondes soient-elles, et porteuses d’une sorte d’information subtile, n’en sont pas pour autant la preuve de quoique ce soit. Si ce n’est qu’il y a vraisemblablement des fréquences autres que celles que nous connaissons habituellement. Mais qu’il serait aventureux que de vouloir s’y arrêter d’une part, ou d’en faire une fixation quelconque. Ces choses existent, regardons les simplement comme on peut admirer un beau paysage, ou la splendeur d’une aurore, sans attachement ni encore moins d’appropriation de la part du petit ego, toujours à l’affût, de quelques médailles ou gratifications à grappiller. Cela fait partie du décor naturel dans lequel nous évoluons tous, corps et âme, et que l’on peut rencontrer, Chemin faisant ….
Mais il est peut-être intéressant de savoir que cela existe, pour précisément le dépasser, lorsque cette occurrence pourra se présenter… à l’insu de notre plein gré, bien sûr !.
On peut remarquer cependant une certaine différence entre ces types d’expériences telles qu’elles ont été rapportées. Dans les premières, par le biais d’une EMI par ex. Les informations relatent presque toujours des rencontres plus moins plasmatiques, lumineuses ou ternes, des situations émotionnelles plus ou moins profondes et intenses, des élans mystiques ou extatiques, qui démontrent que nous sommes toujours bien dans une relation d’altérité avec les évènements observés. Les témoins parfois, « sortent » d’eux-mêmes, comme ravi , en extase, en quelque sorte. Même les expériences de haute valeur « spirituelle » sont toujours décrites dans ce même rapport : « Observateur/observé » .
Un peu comme cela est décrit par l’Advaïta-Vedanta par ex.– Que ce soit un être de lumière, un guide auto-proclamé ou quelqu’autre figure dite ascensionnée, et nous – ou alors sur un octave au-dessus, (3ème loka?), un archange, un ange, pas forcément les malakims, dont la description détaillée de la Bible laisse dubitatif – et notre âme-conscience singulière.
Le ressenti et le perçu sont donc imprégnés de dualité, d’altérité, d’émotions et se situe plutôt dans un domaine propre à l’entropie.
Dans un autre registre non dual cette fois, la Vacuité, le Silence, et la Plénitude sans objet de contemplation, que certains ont pu approcher, dans et surtout après l’expérience de l’étoile, ne sont que le début d’une expérience à venir, qui se situerait plutôt dans ce que l’on pourrait appeler, l’intrication. L’étoile ne serait alors qu’une porte – la 8 ème Porte – ? un sas de sortie, que l’on emprunte, puis dépasse sans s’y arrêter outre mesure.
Alors la Suite de l’Epopée est vraisemblablement au-delà des mots, et rien de mieux que la profondeur d’un Silence de méditation, sans objet mental et/ou émotionnel, comme support, pour l’approcher, ou plutôt, se laisser approcher par Elle, car ici le désir et la volonté auront été placées au placard des illusions.
Au-delà des mots certes, mais quelque chose nous dit peut-être que ce que nous appelons l’âme-hors, est bien CELA, en fait ! Donc point de « ressuscitation » !!
– CELA EST –
Patje SEKO